Journées Innovation citoyenne, solidarités et transformations sociétales au CNAM !

Du mercredi 31 mai – 19h au vendredi 2 juin – 18h, se dérouleront les journées Innovation citoyenne, solidarités et transformations sociétales – Redéfinir l’émancipation face aux défis écologiques, sociaux et démocratiques au CNAM. Celles-ci ont pour objectif de promouvoir des sciences sociales par et pour la société en s’articulant autour de trois temps.

La soirée du 31 mai : « Économie solidaire, gestion sociale et participation émancipatrice. L’apport des ouvertures internationales : l’exemple du Brésil », consacrée aux apports de l’ouverture internationale, prend appui sur des coopérations menées avec des chercheurs brésiliens. À partir d’exemples dans diverses disciplines elle met en évidence à quel point le dialogue international impulse un renouvellement théorique.  

La journée du 1er juin : « Entre rapports de pouvoir et émancipations : repenser la complexité du monde culturel associatif » (organisée par Opale en partenariat avec l’IRIS – Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux), détaille comment les interactions entre les réseaux du champ des arts et de la culture d’une part, les chercheurs d’autre part participent d’une réflexion collective nourrie des démarches d’économie solidaire et de droits culturels.

La journée du 2 juin : « Vers de nouveaux rapports entre science, action et démocratie. La Fabrique de l’émancipation », revient sur les positions exprimées dans l’ouvrage La Fabrique de l’émancipation, en particulier sur les nouveaux rapports entre sciences sociales, action et démocratie. Elle est construite autour de commentaires formulés par des auteurs ayant abordé des thématiques proches et de réactions émanant d’acteurs de mouvements sociaux, de responsables du mouvement associatif, de l’éducation populaire, de l’économie sociale et solidaire. L’accent mis sur le croisement des savoirs académiques et expérientiels appelle de nouveaux liens entre mobilisations, pouvoir d’agir et changements institutionnels. D’où la mise en place de recherches participatives et un nouveau regard porté sur l’émancipation.